Maison de Kayuki Aï

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La maison du dessinateur Aï est des plus simple. En effet, c'est une petite maisonnette comme on en trouve beaucoup dans les quartiers de New York.

Elle posséde un terrain entouré d'une haie qui la séparre de la demeure d'une autre personne. L'extérieur est tout ce qu'il y a de plus banale excepté que jamais vous ne verez les volets ouverts.
Lorsque vous passez la porte d'entrée, vous arrivez dasn un hall surplonbé par un escalier. A l'étage se trouve une salle d'eau, la chambre d'ami ainsi que celle du propriétaire des lieux.
Au rez de chaussé se trouve un salon, une cuisine et une autre chambre servant plus de bureau au jeune homme vivant ici.
L'endroit le plus particulier de la demeure, c'est le sous-sol. Ce dernier est une véritable salle d'entraînement avec diverses armes blanches accrochées aux murs. Des tatamis recouvrent le sol et des accessoires de musculation sont camouflés dans le coin de la pièce.

C'était justement dans cet endroit qu'un jeune homme était en train de se reposer sur un divan placé dans le coin opposé à celui des affaires de musculation. Il s'était entraîné toute la journée et faisait une pose. Regardant l'horloge accroché au mur, Aï vit que la nuit venait de tombé. Se redressant, il quitta le sous-sol pour se diriger dans sa chambre. Une fois là-bas, il se doucha et se changea.
Prenant ses armes habituels, il sortit de la maison avec l'intention d'aller s'amuser voir travailler...

Invité

Après s'être promener dans le Global Garden un bon moment après son travail pour faire passer le temps avant que ce soit la nuit complète. Heureusement pour lui, il n'avait fait aucune movaise rencontre ce qui aurait été assez probable vu qu'il était seul et assez pensif donc il ne faisait pas trop attention au reste. De plus, il faisait maintenant complètement noir dehors, alors c'était à cette heure que sortait habituellement les vampires pour chasser ou tout simplement pour se distraire, mais Eiji n'était pas très conscient de cela et c'est ce qu'il y avait plus d'imprudent de sa part.

Eiji arriva bientôt à la maison aux volets fermés d'Aï. Il avait dû chercher un petit moment avant de la trouver vu qu'Aï ne lui avait donné que son adresse sur un bout de papier et qu'il ne lui avait fait aucune autre précision sur l'endroit où sa maison se situait dans New York. Elle aurait très bien pu se trouver complètement à l'opposé de là où il était. Au moins il l'avait trouvé et c'était ça l'essentiel.

Il regarda un bon moment la maison ainsi que l'adresse indiqué pour être certain de ne pas s'être trompé, puis il marcha jusqu'à la porte de la maison. Il donna trois petits coups à la porte et attendit en silence que quelqu'un lui réponde. Toute la journée il avait attendu d'avoir terminé son travail pour aller voir Aï et il pouvait le faire maintenant. Il avait pensé à lui la journée entière ce qui lui avait valu quelques maladresses vu qu'il ne se concentrait plus tellement sur ce qu'il faisait. Il espèrait seulement qu'il ne soit pas déjà partis, mais ça serait un peu étrange étant donné que c'était lui qui lui avait donné rendez-vous même si c'était vrai qu'il n'avait mentionné aucune heure de rencontre.

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Aï s'était douché une fois revenu de la forêt. Il ne savait guère pourquoi il avait laissé ce morceau de papier à Eiji mais bon, il lui fallait s'asumer maintenant ! Sortant de la salle d'eau, il se dirigea vers la cave. Cette endroit le calmait de bien des manières mais bon, il trouvait toujours un moyen de s'occuper les nerfs.

S'habillant d'une tenue composer d'un pantalon noir ample, Aï commença à faire divers exercices tels que des pompes, des abdominaux et bien d 'autre encore. Il fit quelques pauses bien qu'elles étaient peu nombreuses. En effet, les vampires devenaient de plus en plus puissant et il devait devenir plus fort pour les contrer.

Lorsque la nuit commença à tomber, le jeune chasseur partit se doucher une nouvelle fois. Il se prélaça sous la douche jusqu'au moment où il entendit la porte toqué...

*Et merde !* pensa-t-il de manière trés philosophique en sortant de la douche le plus rapidement possible.

Il choppa une serviette dan son élan, se sécha tout en descendant les escaliers et attrapa le premier pantalon qui trainait par terre dans son salon ! Ben quoi, c'est pas de ma faute s'il est bordélique le Aï !

Quoi qu'il en soit, dés lors où il se retrouva avec un pantalon sur ses fesses bien formées, il ouvrit la porte. C'est ainsi qu'il vit Eiji attendre sur le parvis de sa maison. Son coeur ne fit qu'un tour avant qu'il ne lui dise :

"Eiji... Je ne m'attendais pas à ce que tu viennes vraiment... Entre, je t'en prit."

Une fois le jeune fut-il dans la maison, qu'Aï commença à pouser les tas de vêtements qui monopolysait aussi bien les fauteils que les canapés... Puis, il fit signe à eiji de faire comme chez lui. Pourquoi ne parlait-il pas ? Tout simplement parcequ'il était mal à l'aise et ne savait où se mettre. Je pense qu'il serait plus aisé, qu'Eiji ne commence à parler.

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Après avoir cogné à la porte, Eiji patienta une minute... deux minutes... trois minutes... Toujours pas de réponse de la part de quelqu'un dans la maison. Il se mordillait la lèvre en se disant qu'il était peut-être arrivé trop tard pour voir Aï. Il attendit encore quelques secondes juste pour être sûr et certain qu'il y avait vraiment personne dans la maison.

Puis, au bout d'un certain temps, il s'aprêta à partir en prenant le chemin du retour tout en croyant qu'il n'y avait personne et qu'Aï était déjà partit à l'extérieur, quand ce dernier ouvrit justement la porte. Eiji qui avait jusqu'à maintenant une petite mine déçu, changea aussitôt son air triste pour un sourire. Il s'était arrêté de bouger d'un seul coup quand il avait vu Aï dans le cadre de la porte. Si il ne s'était pas retenu, il lui aurait certainement sauté dans les bras tellement il était content de ne pas l'avoir manqué finalement.

*Il pensait pas que j'allais venir? Pourquoi?*

Il entra dans la maison d'Aï quand celui-ci l'invita à rentrer pour ne pas rester sur le seuil de la porte comme ça. Il fit quelques pas à l'intérieur avant de se retourner vers Aï qui passait devant lui après avoir fermé la porte pour aller ramasser des vêtements qui traînaient ici et là.

"Tu ne m'avais pas dit d'heure précise à laquelle je devais venir, alors je savais pas trop quand arriver. Je te dérangeais pas j'espère."

Il regarda Aï de la tête au pied et s'aperçu qu'il avait les cheveux mouillés et qu'il l'était encore un peu. Il en conclu qu'il devait tout juste sortir d'une douche. Il se mordilla un peu la lèvre et rougis un peu, parce qu'il semblait qu'il l'avait quand même un peu dérangé alors qu'il était en plein dans sa douche. Eiji se dit qu'il aurait peut-être mieux fait de venir quelques minutes plus tard juste le temps qu'Aï ai fini de prendre sa douche même si pour ça il devait faire taire son envie de revoir le roux le plus vite possible.

Il vit bien qu'Aï était un peu mal à l'aise vu le silence qui commencait à s'installer, alors il décida de reprendre la parole pour essayer de détendre l'atmosphère. Vu qu'il n'avait pas préparé un petit discours, il dit la première chose qu'il lui vint à l'esprit ce qui ne serait peut-être pas une bonne idée étant donné que ce qu'il sortit fût un peu idiot.

"Alors c'est ton chez-toi. C'est très beau."

Il lui fit un sourire sincère en se disant que ce qu'il venait de dire n'était peut-être pas ce qu'il y avait de plus intelligent. Mais bon, il avait quand même dit la première chose qui lui était venu à l'esprit, alors il ne devait pas s'attendre à dire quelque chose de beaucoup plus intelligent que ça.

Il avait tellement attendu le moment où il allait être de nouveau avec Aï, qu'il avait de la misère à rester debout sans rien faire. Ne tenant finalement plus tellement en place, Eiji s'approcha d'Aï pour venir l'embrasser sur la joue pour ensuite le serrer dans ses bras. Les heures qu'il avait dû passé en l'absence du roux semblaient avoir été une éternité complète. Il était tellement content maintenant d'être avec lui.

"Tu m'as vraiment manqué."

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Aï ne savait vraiment plus où se mettre. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il avait peur... oui, peur. Peur de ses sentiments, de ce que cela pouvait entraîner à Eiji, de ne pas être à la hauteur, lui qui n'avait jamais aimé...

Lorsque le jeune homme lui fit la remarqua sur son chez-lui, Aï eut un sourire gêné. Il avait un peu honte de l'état de sa maison mais cela était comprhensible quand on voyait le bordel monstre qui y régnait. D'un ton doux et aimant il dit à son cher et tendre :

"Oui, c'est pas bien grand et un peu en bazard mais j'espère que cela ne te dérange pas... Je ne suis pas trés bon rangeur en faite..."

Puis il entendit le fait que l'humain en face de lui trouvait ça trés beau. Le chasseur n'eu à répoàndre qu'un sourire qui vous prenait le coeur de par l'amour et la gentillesse exprimait.

Alors qu'il allait l'inviter à s'asseoir, Aï fut devancer par le barman. Ce dernier vint lui faire un bise sur la joue et le serrer dans ses bras. Répondant à l'étreinte, Aï déclara suite à la phrase comme qiuoi il lui avait manquer...

"Toi aussi tu m'as manquer mon ange..."

A peine cela fu-il dit que le chasseur releva le visage de cet adorable éphébe pour lentement déposser ses lèvres vermeilles sur celle de son compagnon. Le baiser était doux, aimant et sucré comme du chocolat si je puis me permettre...

Invité

Eiji rendit son sourire à Aï après qu'il ai dit que sa maison était belle même si quelques petites choses traînaient un peu partout. Il le pensait vraiment en plus. C'était une bien belle maison qui était assez chaleureuse. Il rougis quand même un peu, parce qu'il se disait que ce qu'il avait dit était peut-être un peu stupide et qu'il avait donc eu l'air idiot en disant ça. Mais bon, il n'y pouvait rien si c'était ça la première chose qui lui était venu à l'esprit, et puis ça avait peut-être un peu plus détendut l'atmosphère, le fait qu'il dise quelque chose de quelque peu stupide.

Il souria quand Aï lui avoua que lui aussi lui avait manqué. Alors il n'était pas le seul à avoir pensé toute la journée du moins à l'autre. Il en était un peu soulagé même si il ne le laissait pas trop paraître. Il fût un peu surpris qu'Aï l'appelle "mon ange", mais ça lui fit quand même chaud au coeur. Il referma les yeux en serrant encore un peu plus Aï dans ses bras en appuyant sa tête contre le torse d'Aï.

Il dû relever la tête quand le roux lui prit le visage pour le relever un peu. Eiji lui lança un petit regard interrogatif, mais eu bientôt sa réponse quand Aï l'embrassa. Il ferma de nouveau les yeux en profitant pleinement de ce moment. C'était si agréable de se retrouver avec la personne qu'on aimait après une attente qu'Eiji comparait à l'éternité. Il avait songé plusieurs fois cette journée au moment ou il allait enfin pouvoir être avec Aï que se soit seuls ou même en publique.

Il remonta un peu un de ses bras pour glisser une main sur la nuque du roux en laissant l'autre caresser le dos de son amoureux. Il finit par mettre fin au baiser, il devait bien finir par respirer un moment ou l'autre quand même. Il posa ensuite une multitude de petits baisers sur la bouche d'Aï avec un sourire en coin et avec amusement.

"Alors tu me fais visiter? À moins que tu ne veuilles faire autre chose?"

Il déserra son étreinte sur Aï et attendit sa réponse patiement en le regardant doirt dans les yeux toujours avec son sourire innoncent sur les lèvres. En attendant sa réponse, il regarda un peu autour de lui pour au moins regarder un peu de quoi avait l'air la demeure d'Aï.

*Je l'aime tellement!*

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Aï était pensif : faire autre chose ou faire visiter ? S'il le faisait visiter, il aurait paru désintéressé de son ange ; tandis que s'il faisait certaines choses, il risquait de penser qu'il ne voulait que ça ! Cruel dilemne ! Et pourquoi pas... ? Hein après tout, pourquoi pas les deux à la fois ?!

*On va tenter le coup !*

"Mon coeur...Euh..."

Sans plus dire un mot, les tendres lèvres du chaseur s'emparèrent de celle du jeune homme. Sa langue se fit aventureuse avant de stopper subitement ce baiser de la même façon que la fois précèdente, dans la forêt.

"Et pourquoi pas les deux ?" dit-il avec une voix taquine !

Il prit la main de son invité et l'attira dans la cuisine...cette dernière étant des plus simple de par ses meubles en bois d'ébène et le mobilier que l'on trouve chez le premier antiquaire venu !

C'est alors qu'il repris ce tendre baiser là où il l'avait arrêté. Durant ce long instant, il paru à Aï que le monde se résumait à Eiji et sa douceur qui l'avait sortit de ses ténèbres. Mais il avait pris une déscision cet idiot !

"La salle où on était il y a quelques secondes : c'était le salon ; et celle-ci c'est la cuisine !...Et oui je sais que ça ne ressemble pas à un salon avec le bazard qu'il y a dedans mais je suis tout aussi particulier que mon habitat !"

Son ton était emplie de malice et de joie. Il était heureux d'avoir sa moitié dans le creux de ses bras, de sentir le souffle de ce dernier sur lui, d'entendre le tendre timbre de sa voix lui parler avec tendresse...heureux, il était heureux d'être en la compagnie de son éphèbe à l'oeil rouge...

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Eiji continua à regarder la pièce dans laquelle ils étaient tout en attendant une réponse de la part du jeune roux qui semblait réfléchir à ce qu'ils allaient faire maintenant qu'ils étaient de nouveau ensemble et qu'ils étaient seuls dans sa maison. Il tourna finalement de nouveau la tête vers Aï quand ce dernier recommença à lui parler en attirant son attention sur lui. Il posa sur lui un regard interrogatif en se demandant ce qu'il y avait et si il avait prit sa décision ou si il préfèrait que ce soit Eiji qui ne le fasse à sa place si il n'arrivait pas à ce décider.

"Hmm?"

Il eu bien vite la réponse à sa question muette au moment où Aï lui arracha un baiser, mais ce ne fût aucunement de force. Il fût d'abord un peu surprit du baiser, mais ne tarda pas à s'y abandonner en laissant la langue d'Aï entrer doucement dans sa bouche pour aller rejoindre sa jumelle un bref instant.

Il fût cependant étonné que son amour mette fin à se baiser aussi rapidement et soudainement qu'il ne l'avait commencé. Pourtant il ne fit aucun commentaire, ce contentant de continuer d'offrir un sourire innocent à Aï. Puis il écouta la proposition que venait de lui faire son amour. Même si il ne savait pas trop ce qu'Aï voulait dire par faire les deux, il se contenta d'hocher de la tête pour ensuite approuver sa décision.

"C'est une bonne idée."

Il suivit ensuite tranquillement le roux quand celui-ci l'attira vers une autre pièce en le tenant par la main comme on prenait par la main un petit enfant pour pas qu'il ne se perde malencontreusement quelque part. Quand ils furent rendu dans la pièce suivante, Eiji commença à regarder un peu partout pour essayer d'identifier la pièce dans laquelle ils étaient présentement, mais il ne pu le faire bien longtemps qu'Aï reprit le baiser qu'ils avaient commencé dans l'autre pièce.

Décidement, ce soir Eiji n'était pas au bout de ses surprises avec Aï qui commençait des choses soudainement pour les arrêter aussi vite qu'il les avait commencé bien que ce ne fût pas le cas pour ce baiser. Ils restèrent comme ça à s'embrasser un long moment, l'un contre l'autre, jusqu'à temps qu'Aï mette de nouveau fin à leur baiser pour pouvoir lui présenter la pièce dans laquelle ils se trouvaient à présent. Eiji vint tout doucement frotter son nez contre celui de son amoureux avant de lui parler de nouveau sur un petit ton amusé.

"Mais moi, j'aime bien quand c'est le bazard."

Il vint ensuite lui offrir un sourire taquin. Sa maison n'était peut-être pas ce qui était le plus rangé et en ordre qui soit, mais ça, Eiji s'en foutait un peu. Un peu beaucoup, il faut dire. Tout ce qui était important à ses yeux maintenant c'était Aï et rien ni personne d'autre. C'était seulement lui qui comptait pour lui. Tout le reste, il s'en fichait éperdument peu importe ce que c'était bien qu'il était avait toujours une limite à se foutre de quelque chose du moins.

[Me revoili ! En force et en forme ! Même si vous ne voulez pas me voir ! XD]

Léon devait aller, comme tout le monde s'en doute, voir ce cher Tetsu... En fait il hésitait entre se suiscider et demander de l'aide ! Mais comme il a toujours pas réussi à trouver ce qu'il veut, il faut qu'on l'aide le pauvre ! Mais le cher chasseur n'est pas facile ! Il voulait un chasseur de vampire, un qui soit un minimum fort et qui ne parlait pas trop de préférence ! Et qui ont ces caractéristiques il n'y en pas des masses ! Donc le vampire allait entrer chez Aï Kayuki ! Il avait eu l'occasion de le rencontrer pendant l'une de ses chasses et l'avait sauvé d'un superbe vampire qui avait failli le découper en tranches de jambon ! Au départ il l'avait pris pour un humain comme les autres, mais il était un chasseur de vampire qui répondait à ses critères ! Il entra donc sans frapper dans la maison (et sans s'apercevoir qu'il était au plafond au passage...)

Il ferma la porte derrière lui . Il examina le désordre... particulier ! Il n'avait jamais vu de lieu aussi mal rangés ! C'est bien simple notre cher tueur est un maniaque du rangement ! (Et il reviendra pour ranger cette maison ! Vous l'imaginez avec un plumeau, une tenue de bonne et un grand sourire au lèvres ???) Il marcha donc de lng en large en attendant qu'on vienne voir qui était entré . Seulement son "hôte" devait avoir mieux à faire que de s'occuper de lui ! (on se demande pas quoi -_-... L'autre ça fait au moins un siècle qu'il a pas b**** XD)

Ne voyant personne personne arriver il commença à parler, en se dirigeant vers la porte de la cuisine (toujours sur ce superbe plafond ! Il est magnifique, je vous jure !) :

"Hé ! Kayuki ! Tu es là ? Ho ! L'assassin, tu es là ?"

Doué comme il est il avançait sans se soucier de ce que pouvait faire ce cher Aï, mais continua :

"Hé, Amour ! Tu es là, le mortel ?"

Il passa enfin la porte de la cuisine (cette "bip" de "bip" de"bip" de sa"bip" de porte de mes "bip" ! C'est pas trop tôt !) et ce qu'il y trouva à l'intérieur lui cloua le bec ! Deux "bogoss" en train de s'embrasser langoureusement ! Le mec accroché au plafond ; en tenue en cuir moulante et une superbe cape noire (en cuir aussi) [Il ne s'est pas cassé le crâne le narrateur pour le décrire !], tomba du plafond sur ses pieds et se releva d'un air gêné (sur le sol cette fois !) en regardant les deux tourtereaux !

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Eiji continua de faire les yeux doux à son amoureux tout en restant blottit dans le creux de ses bras. Il se sentait si bien dans ses bras qu'il ne voulait plus jamais le quitter même pour une petite seconde même toute petite. Il s'était trop ennuyé de lui, alors pas question de le quitter d'une semelle. Il releva soudainement la tête en entendant un faible bruit qui semblait être celui d'une porte. Il regarda d'abord par la porte de la cuisine pour voir si ce n'était pas quelqu'un qui se baladait dans la maison de Aï, mais ne voyant rien, Eiji accusa son trop plein d'imagination qui faisait des siennes encore une fois.

*Je dois avoir halluciné.*

Il secoua brièvement la tête de gauche à droite pour s'empêcher de penser à tout ça. Puis il reporta son attention sur son amoureux sans bien trop de mal. Pour lui une éternité était passée entre le temps où ils s'étaient quittés dans la forêt et le moment où ils s'étaient finalement retrouvés.

Il l'embrassa de nouveaux amoureusement comme si c'était la première fois, mais il mit rapidement fin au baiser quand il entendit quelqu'un appeler Aï. Cette personne devait certainement être également dans la maison vu qu'Eiji pouvait l'entendre parfaitement. Il fût surprit de l'entendre ensuite interpeller Aï en le nommant "l'assassin". La seule chose qu'il ne savait pas c'était où se trouvait l'inconnu exactement.

"Aï...?"

Là c'était certain, il ne pouvait pas avoir halluciné, mais il n'osa pas en dire plus à Aï. Il avait bel et bien entendut la voix d'une personne et Aï devait certainement l'avoir entendut également. Il leva les yeux vers Aï pour le questionner du regard. Peut-être attendait-il aussi quelqu'un d'autre. Mais alors, pourquoi est-ce qu'il lui aurait demandé de venir à ce moment-là? Bref, Eiji se posait plein de questions et attendait que son amour lui fournisse les réponses.

Il releva la tête une seconde fois. Quand il vit que l'inconnu qu'il avait entendu quelques minutes plus tôt, dans sa naïveté légendaire, Eiji quitta l'abris que lui procurait les bras de son amoureux pour aller retrouver l'inconnu qui venait tout juste de tomber.... du plafond? Ce dernier détail, Eiji ne le constata pas vraiment. Il pensait plutôt qu'il s'était tout simplement prit les pieds dans quelque chose qui traînait sur le sol. Avec le bazard qu'il y avait dans la maison d'Aï cela n'aurait pas été vraiment surprenant. Eiji posa une main sur son épaule et en adoptant une mine inquiète et innocente.

"Est-ce que ça va?"

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Aï était plus que ravie de sentir son Eiji dans ses bras quand, soudain, les portes de sa maison se firent entendre et une voix inconnu au bataillon avec !
S'apprétant à aller voir qui oser entrer dans sa "demeure", le chasseur de 20 ans pâlit considèrablement au mot "assassin"...

Son sang ne fit plus qu'un tour et son esprit fonctionnait à cinq mille heures...Comment un vampire avait-il fait pour savoir où il habitait ?! Il prenait toujours soin de passer par des endroits inombables pour êviter ce genre de problème ! Alors, comment ?!

Quoi qu'il en soit, Eiji l'embrassa de nouveau le faisant décrocher de la réalité...mais ce fût bien un vampire accrocher au mur qui les stoppa. Maudissant entièrement la créature de les avoir stopper, pestant ensuite, Aï était à la limite de comettre un meurtre si l'on puis dire...

"Eiji ! Eloigne toi de lui s'il te plait..." ordonna Aï lorsque son coeur se dirigea vers Léon.

Faut pas dire mais il s'inquiéte pour son ange le Aï ! Quoi qu'il en soit, il se mit devant le barman et demanda, avec une voix froide et coupante sans sentiment, à Léon :

"Qui es-tu et que viens-tu faire chez moi ?"

Cela était clair, net et précis je dirais...mais bon, il arrive au vampire d'avoir de grave problème d'audition...aussi, Aï avait parler assez fort pour être sûr que la créature d'en face avait comprit la question...

Mais bon, il faut ajouter que le mister Kayuki était désarmé face à un vampire et que ses armes les plus proches étaient des couteaux de cuisine...sans oublier toutes ses affaires situées dans la cave d'à côté !!!

Alors dans la série complètement con il n'y a pas mieux ! Le premier venait de le voir tomber du plafond et n'avait pas trouvé ça louche et l'autre parlait à en faire pâlir un mort ! De toute façon le pauvre Aï n'était pas armé ! Pour faire un peu monter la tension (il aime ça mais on sait pas vraiment pourquoi...) : notre cher raté prit Eiji dans se bras, sans se soucier de la question qu'il venait de lui poser . Il hésita entre deux phrases :

- Tu devrais faire gaffe quand tu invite un humain chez toi !

ou encore - T'as de beau jeux tu chè ? [Désolé des restes de L'Age de Glace... XD]

Mais il choisit une phrase plus simple . Il placa Eiji dans le creux de ses bras glacés de telle façon qu'il puisse regarder droit dans les yeux Aï .

"Ne t'inquiète pas ! dit-il en s'approchant dangereusement du cou du jeune qui était dans ses bras, Je ne vais pas le manger !"

Il passa sa langue sur le cou du petit "ange" et défit son étreinte : il venait de se souvenir de deux choses ! (chose extraordinaire connaissant son douisme !)

"Pour répondre à ta question, jeune Homme, tout va très bien, merci de te soucier de ma santé !"

Sous le regard qu'il pensait ébahi des deux autres personnes présentes, il traversa la "cuisine" et alla chercher une chaise . Il revint quelques secondes plus tard devant les deux autres qui n'avaient sûrement pas compris ce qu'il venait de faire .

*Il ne m'a pas reconnu, il a la émoire courte ! Je l'ai quand même sauvé ! Il a eu le temps de me voir avant de tomber dans les vapes ! - Oui mais c'est ta faute ! -Pourquoi ? - Tu lui avait de pas bouger ! -...*

"Tu as la mémoire courte Kayuki ! Je t'ai sauvé la vie et tu m'as déjà oublié ?"

Puis il fit le plus gros effort de sa vie : il se souvint (si, si : il peut !) que Eiji n'était qu'un humain et qu'il ne devait rien y connaitre aux vampires ! Mais comme c'était pas sa merde, il allait faire comme si de rien n'était ! (enfin en faisant un peu gaffe !)

"Je vais pas y aller par cinq chemins l'Assassin ! Soit tu m'aides soit je m'occupe de ton petit protégé avant de m'occuper de toi ! C'est clair ?"

Le plus doué des chasseur de vampire venait de faire une proposition . Il y a quand même un problème : il n'a pas dit avec qui il était ! Et il ne saura sûrement pas tout de suite que c'est aussi un chasseur !